~Sawako Aya~

Invité

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Nom:
Sawako

Prénom:
Aya

Âge:
18ans

Nindo:
Prouvez que j'ai ma place dans ce monde!

Histoire [15 lignes minimum]:
Une goutte d’eau…puis deux…et enfin une tempête comme jamais surgit, de l’eau a très grande vitesse se déferla sur le sable qui sa retrouva dans un piteuse état. Puis els cris d’un bébé se firent percevoir parmi le bruit assourdissement des multiples gouttelettes se déferlant sur tous le sol du village caché du vent, Suna no Sato. A peine fut-il née que déjà se bébé devenu assassin en volant la vie de sa mère venant tous juste de lui accorder un nom des plus digne avant de succomber face à la mort…Ces dernier mot : Aya ne signifiant rien d’autre que beauté sauvage…ce bébé était donc une fille prête a déployer ces ailes afin de devenir la plus grande ninja de tous les temps…mais détrompez-vous ce beau rêve n’allait pas être le sien, c’est avec cette pluie rageante que n’est jamais connus les habitants du village cacher du vent que le monde prouva a la jeune enfant encore bébé qu’elle n’avait pas sa place dans le monde des humains. Son père nommé Kitaro plongea dans l’incertitude total…se trouvant entre le dilemme d’oublier à tous jamais l’esprit de son épouse qui avait pourtant été si fidèle ou de garder a tous jamais les bon souvenir et de garder la seul qu’il lui restais d’elle…Aya.

Ayant choisit la deuxième option la jeune fille vécu donc avec lui une vie des plus épanouissante dans son village natal, Suna, admise a l’académie ninja la jeune fille se trouva des amis fidèle mais ces notes laisser néanmoins a désiré, ne pouvant passer des journées a rester assise écoutant des mots incompréhensible elle ne put s’empêcher de jouer « l’imbécile »…sachant déjà qu’elle était un ninja du a sa mère la jeune fille se concentra sur les principes d’un ninja mais un soir d’été où la pluie ne cesser de tomber la jeune fille souriante rentra dans une petite cabane isoler et fit sortir de sa voie le cris des plus horrifiant, c’est sur le parquet de bois de frêne qu’une matière fluide et d’un rouge vif pourtant si beau qui coula le long du corps ivre mort de son père…celui-ci prononça deux mots auquel Aya n’hésita pas a obéir pour ne plus voir cette endroit macabre « fuit Aya »…son dernier rêve était donc de sauver sa fille…le seul espoir qui lui avait permit de ne pas dénouer le lien si bien entretenue avec son épouse.

Ces larmes se mêlèrent a la pluie qui déferler sans conviction. Courant le plus vite possible…ne sachant où aller…fuyant l’homme qui l’avait élevé sans mot dire. La jeune fille continua sa course incessante contournant chaque obstacle des plus simple ou plus élaborer…avant d’arriver dans le fin fond du désert…seul…fatiguer…ronger par le froid, la tristesse, la haine et la vengeance elle se jura de retrouver les assassins de son père…les responsable de cette mort atroce.

C’est les profondeurs de la nuit et sous un ciel étoilé qu’une douce épaisseur frotta le nez si froid d’Aya qui se réveilla sur un sable blanc, un animal se trémousser tous près d’elle, haut et d’une grande musculature…un tigre. Ne craignant guerre cet animal qui lui était encore inconnue la jeune femme approcha sa main tremblante afin de découvrir un peu de chaleur…mais lorsque cette main si frêle touche l’épaisseur de la couche de poil si douce qui recouvrait le tigre une douleur insurmontable fit son apparition dans tous son corps.

C’est sous ce même ciel au multiple étoile formant diverses constellations qu’elle se réveilla de nouveau…portant dans l’un de ces petit bras égratigner une petite boule de poile, endormi, si mignonne. Le sourire qui monta au lèvres pulpeuse de la jeune fille fut spontané et serrant le tigrou qui lui avait été donner très fort elle se jura de toujours rester avec cet animal plein de surprise…sa vie continua alors, sa promesse fut tenu et apprécier, avec sa plus grande joie elle constata que le tigre qui lui avait remis n’étais pas un simple animal mais belk et bien une arme redoutable auquel elle apprit multiples chose…maintenant je peux vous expliquez que malgré ces apparences de profonde solitude jamais elle n’étais seul…c’est avec l’arme la plus redoutable, Keito…son tigre.

Physique et mental:
Le physique…c’est si important…sans l’être vraiment pour autant car les apparences sont s’y trouvant trompeuse mais néanmoins il est vrais qu’on ne peut cacher que lorsque on aborde quelqu’un que l’on ignore dans une rue c’est qu’elle nous plait d’abords par le physique. Mais revenons-en a la jeune kunoichi dont moi seul connais les moindres détails…mais c’est malgré moi que je ne vous cacherais pas que le seul mot qui serait apte a qualifier son physique des plus convoité est « traditionnel ». Son poids je ne serais vous le dire dans ces moindre détail…simplement apprécier par beaucoup et convoité, d’une finesse inégalable entretenue par sa vie épanouïssante de ninja. Quand a sa taille des plus banale disons a premier vu 1m68…Venons-en directement au plus intéressent…son visage des plus inexpressif et ne montrant aucune ride. Sa bouche entouré par de fine lèvre pulpeuse accompagnant son léger nez a peine visible…tous deux les plus petits qui soient. Ces yeux d’une obscurité et d’une haine à vous glacez le sang…disant long sur son enfance presque plonger dans le fin fond de ces pensées. Quand à ces cheveux d’un noir d’une obscurité écarlate et intrigante, laisser la plupart du temps tomber sur ces épaules ne montrant guerre sa force réelle ils sont des plus rare…d’une douceur extravagante et d’une finesse à vous rendre jaloux. Ces habits sont d’une simplicité déconcertante…une simple kimono noir…rouge ou encore blanc attacher par une simple ceinture noir…sous ce kimono des plus rependue un sous pull a peine visible, d’une noir profond et d’un simple pantacourt rouge assortis étrangement bien avec son kimono, sans oublier les multiples protections recouvrant la totalité de ces genoux et de ces coudes…J’éspère que cette petite description vous ferra une idée simple de l’apparence de la jeune femme que je contrôle.

Le caractère…plus connu sous le nom de mental…voila une description intéressante et des plus intrigantes pour notre jeune kunoichi. Voici la description mentale présenter par les gens du village : « Cette fille est trop méfiante et insociable sans oublier sa froideur qui nous fais peur… » Sans oublier son caractère présentez par un ami des plus proches : « Cette jeune femme a un mental de battante et peut faire preuve d’une grande gentillesse, calculatrice, observatrice, méfiante certes mais accordant une grande confiance a l’amitié… » Après ce petit témoignages autant vous avouez la vérité…notre kunoichi n’est pas le genre de fille a aller vers les gens avec un sourire éclatant certes, voulant se faire paraitre pour une fille ne ressentant aucun sentiment et insociable elle joue son rôle a la perfection…ce n’est guère non plus genre a aller dans un combat tête baisser, ne sous-estimant jamais ces adversaire sa capacité d’analyse et telle qu’elle analyse les moindre détail et les circonstances, pouvant manipuler les gens avec une faciliter déconcertante elle aime aller au bout des choses et n’abandonne jamais…sa combativité dépassent toute attente mais malgré elle ces émotion son d’une difficulté spectaculaire a contrôlez…s’énervant pour tous et pour rien elle préfère rester a l’écart du monde humain et reste souvent dans la solitude de peur d’être prise dans une crise de colère et de tuer une personne qui lui serait cher…accordant sa confiance a une quantité minimal de personne elle accorde a l’amitié tous se qui a de plus cher et ces sans complexe qu’elle risquera sa vie pour sauver une personne aimer. Malgré les apparences elle est très sensible et accore toute son amour a des animaux des plus répugnant au plus adorables…c’est une fille d’une méfiance rare et d’une froideur a vous effrayer au premier abords…autant dire qu’Aya a un mental d’un ange maléfique qui peut se transformer d’une rapidité incroyable en une diablesse endiablé ou encore en un ange épanouît.

Village désiré:
Suna no Sato

Code:
Naruto no nindo]

Invité

Test rp: J'aimerais que tu approfondisse le jour ou ton pere c'est fait tuer.

Invité

Pour le tigre, je pense que tu ne pourra pas l'utiliser dans l'immédiat, je suis désolé, mais nous avons une animalerie pour acheté hrp se genre de choses et je doute qu'un écard pourrait être fait.

Invité

Je commence mon texte rp.
Pour mon tigre sa sera un problème car pour tous dire la plupart de mes techniques sont faite avec lui, car je précise régulièrement que ce n'est pas un tigre normal...sinon ce n'est grave je patienterais!

Invité

De toute façon, tu ne peu pas crée de technique donc se sera difficile, à moins d'être une Inuzuka et encore, de faire des technique avec lui. Bon après c'est a l'administration de décidé, mais moi je suis contre le fait que tu es directe un animal alors que d'autre dois s'embête a en acheter un surtout si tu crée spécialement des techniques, alors que pareil : d'autre non par le droit même avec des perso très particulier.

Invité

Pour les techniques se n'est pas un problème je pourrais faire un effort et m'en passer mais sans mon tigre sa sera triste. lol.
Enfin je vous laisse décider!

Invité

Il y a plus de morts que de vivants, ce sont les morts qui dirigent les vivants.
Auguste Comte

Un petit nuage de vapeur blanchâtre perdu dans un monde immaculé surgit soudainement parmi la clarté du soleil, éclairant en sa totalité le village cacher du vent, et le bleu rubis éparpillé sur les plus infime partis d'un monde d'où s'échapper des bruit apaisant et à la foie si répétitive que cela en devenait ennuyant, le chant des oiseaux étaient si connu dans le monde ninja que plus personne ne daigner en faire attention...un crime inadmissible que d'oublier la simple beauté des plus naturelle. C'est pour cette raison qu'un regard perdu ce tourna en direction de toute la splendeur céleste, un regard brillant de mile feu implorant de chaque mouvement de cil que ce monde nouveau redevienne un jour une chose exceptionnel dans le cœur de chacun. Un regard d'insouciance espérant encore ressentir le bonheur de la jeunesse, mais lorsque cette jeune fille observa d'un œil furtive ce ciel des plus extravagant avec un sourire léger et d'une sincérité remarquable, un tapotement bref la sortis de ces prière afin de la remettre dans un monde triste et haineux, celui de la réalité. C'était un vieux monsieur qui l'avait réveillé de ces rêves malgré elle, qui ne put dire ne cerresse qu'un seul mot avant de se recevoir en plein visage des mots incompréhensible mais qui la frappèrent d'une violence époustouflante: "La première partie de la vie se passe à désirer la seconde ; la seconde à regretter la première."

Ces pensée était simplement dans la tête d'une jeune femme observant avec la même intensité le ciel comme elle l'avait fais dans sa profonde jeunesse, cette phrase résonna dans sa tête, manifestement le contraire c'était produit pour a jeune femme qui préférait de toute part sa vie de jeune femme cruelle que celle d'une fillette inconsciente et pleurnicharde, ignorant tous dans le vie...et après tant d'année passée elle savait que si l'opportunité de recommencer une vie serais a refaire jamais elle ne referais les erreur certes petite mais fatale. Par commencer ne pas voler la vie de sa mère contre la sienne causant ainsi le désarroi de son père, le menant à sa perte .A la simple pensée de son père des souvenirs revenaient avec une tel brutalité, une tel intensité que la jeune femme eu grand mal a retenirent les larmes qui c’était emparé de ces yeux bleu éméraude auparavant inexpressif. Mais la patience n’arrangea rien et elle replongea dans le plus profond de ces souvenirs, revoyant ces moindres détail d’autrefois…le 18juin avait toujours été le jour le plus tragique de toute son existence.

Le soleil disparu brusquement, caché par de gros nuage d’un noir plus sombre que le noir en lui-même. Le tonnerre jaïssait de nulle part, ma colère des ténèbres s’accabla dans le monde ninja, un monde qui avait bien changer en bien, et en mal. Peu importait le monde n’était ce qu’il était, tous comme ces occupants ! Jadis digne de vivre. Des éclairs se procurèrent toute la largeur du ciel rempli d’une terreur effrayant, la tempête de vent n’épargna aucun être ou objet ayant la malchance de se trouver sur son passage. Le vent habituellement si doux, si calme fut spontanément transformer en une tempête de colère jaïssant des profondeurs de l’enfer. Mais que se passait-il dans ces étendues de sable à présent recouvert d’une épaisse couche d’eau que la Terre ne put aspirer si facilement. Les sons se firent plus rare, le bonheur et la joie disparurent tous comme l’amitié ou encore l’amour qui furent alors des sentiments inexistant. Seul la haine et la colère prirent possession de l’esprit noir de chaque individu. Malgré ce monde terrifiant une sonnerie résonna longtemps, un son strident assourdissant, provenant du cœur d’un village, un village faisant partis intrigantes en ce jour, qui ne put échapper le village caché du vent. Mais bordel de merde que se passait-il donc ? C’était une journée qui s’était annoncé depuis l’aube qui reprenait de plus belle. La sonnerie de tantôt résonna de nouveau avant rétablir le silence définitivement, mais se silence ne régna pas longtemps, des cris se bousculèrent, s’entrechoquèrent parmi les multiples gouttelettes qui déferlait a grande vitesse sur le sable devenue boue. Les enfants sortaient d’une académie, essayant en vain d’être épargné par ce temps des plus funestes, avec des capuches, qui ne résistèrent pas longtemps, leurs sacs déjà bien trempé où sous l’épaule de leurs parents, manifestement meilleur idée. Cependant une jeune fille reste, le dos courbé, un sourire éclatant du bout de ces fine lèvres pulpeuses, elle patientais sagement dans le froid et la peur, ne possédant qu’un pull fin noir qui ne lui fut d’aucune utilité en ce jour, son petit sac traditionnel pour tous écolier ne se fit pas assez grand et déjà bien trop mouillé pour la protéger de la pluie qui lui était encore inconnue. En effet âgée de neuf ans et ayant vécu dans le village caché du vent depuis sa plus lointaine jeunesse la fillette n’avait encore jamais connu a ce jour que le soleil des plus chaleureux et un ciel bleu émeraude extravagant. Encore insouciante et jeune elle ne savait que faire, patientant encore et encore…les minutes s’écoulèrent lentement.
Après un moment que parut duré une éternité toute entière la jeune fille décida enfin de prendre les choses en main, déçu de savoir que son père ne viendrais pas la chercher a cause d’une simple pluie. Le chemin fut border d’obstacle, le vent lança des bourrasques d’une grande violence, le chemin était parsemer de flaque d’eau des plus épaisse et personne ne proposa son aide, les regards haineux se firent percevoir de chaque recoin. Droit en sa direction, ces cheveux à présent ébouriffée et le rhume commença on aurait pus croire a une fillette vivant dans la rue et allant se réfugier dans une de ces étroites ruelle où l’obscurité seul régnait accompagnée d’une odeur nauséabonde et d’un lourd silence. Mais non ce n’était pas son chemin, habitant une petite cabane isolé du reste du village la jeune femme continua son chemin, inconsciente des regards pesant sur elle.
Atteignant bien vite son but sa demeure fut a quelques mètre mais les lumières était éteinte, les volets fermer et sur la porte était imprégniez une sorte de code, sachant très bien qu’une chose c’était produit en son abcense la jeune femme accéléra le pas, découvrant avec horreur que le code de la porte était un L et P a l’envers fais d’une couleur vif et visible…du sang. Son pouls s’accéléra, sa peau devenu pâle et ces mains tremblèrent, malgré la peur qui la paralyser le grincement de la porte se fit percevoir, l’obscurité régnait, mais une odeur des plus repoussante régner. Après un geste d’hésitation, sa main se leva d’un geste lent et tremblotant, retenant sa respiration, mais avant qu’elle est pue atteindre l’interrupteur ces pieds glissèrent sur un liquide fluide et brillant, comprenant bien vite la situation le cri d’effroi de la jeune femme lui transperça ces propres tympans, lorsque la lumière fut rétabli l’ampleur des dégâts ne laissa pas paraitre défaut espoir. Son père était là…vidé de tous organe, les yeux grands ouverts vers le vide, le corps léger recouvert de son propre sang, un couteau planté en pleine poitrine. Lieu macabre que la jeune fille ne put observer une seconde de plus, déjà ces jambes se mirent à courir plus vite qu’elle ne l’aurait espérer, l’éloignant à tous jamais de corps gisant de son père dont la vie avait été retiré.

Une voix retentit brusquement en sa direction, le soleil était de nouveau présent en toute sa splendeur et le ciel redevint d’un bleu traditionnel. Le front empli de sueur et le visage pâle la jeune femme observa l’individu qui venait de l’abordé d’une voie douce et attentionné. Un simple salut traditionnel, la jeune femme ne put répondre a ce simple mot, aucun son ne sortit de sa bouche et ces le regard avide de toute émotion qu’elle s’en alla, les larmes emplissaient ces yeux puis descendirent lentement le long de sa peau jusqu’à s’écraser sur le sable blanc. Finalement une larme était une représentation de la vie humaine, on se laisse glisser, essayant en vain de s’accrocher a un endroit mais on fini toujours pas tomber…et s’écraser.

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Terminer.

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J'ai bien aimé,tout est bien équilibré au niveau qualité que quantité.Je propose le grade ANBU de Suna,a voir avec mes confrères.

Invité

La quantité et la qualité étant médiocre je dirais étudiant...
* se fait violemment frappé * MAIS! Si j'ai même pus le droit de faire peur Razz

Bon Pour moi aussi Anbu Wink

bonne chance à toi !

Ps : J'ai une idée pour que tu puisse avoir ton tigre dans pas trop longtemps sans changé ton histoire n'y rien ^^

Invité

Ok.
Merci beaucoup.

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Tout à fait, Archivé

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